« Cette mesure du Mont-Blanc crée un vrai sentiment de fierté. Il ne faut pas le cacher, les confrères sont très fiers de cette aventure parce qu’elle est emblématique. Ils sont très contents que la profession soit valorisée mais à titre individuel aussi, ils

« Qu’est qu’il y a de plus beau aujourd’hui en France que de mesurer la terre depuis le sommet du mont Blanc ? »   « À travers cette mesure, nous souhaitons montrer aux gens que les géomètres-experts arrivent, même dans des conditions extrêmes, à mesurer n’importe quel point sur le globe terrestre. Nous commençons par chez nous, puisqu’il y a le mont Blanc avec une altitude que tout le monde apprend à l’école, la seule altitude que l’on retient d’ailleurs. »

« Faire une mesure régulière du Mont-Blanc, c’est le suivre, le surveiller. A chaque mesure, on valide des choses et on en apprend d’autres. Par exemple comment imaginer que le Mont Blanc grandissait plus pendant l’été ? C’est désormais une